Depuis 2014, la spéculation immobilière et financière qui domine le devenir urbain du Blanc-Mesnil ne subit que des contraintes imaginaires sorties du mensonge initial développer par le sénateur Thierry Meignen, président honoraire de l'association «Sauvons nos pavillons».
Depuis la rentrée de septembre 2022, la droite extrême abuse de manière outrancière des moyens municipaux, pour développer la propagande et la promotion politicienne du sénateur Thierry Meignen ce qui est rappelons-le totalement illégale. Elle commence à percevoir que l'artificialisation massive des sols, même masquer par sa communication manipulatoire imprime de moins en moins.
Dès lors, il s'agit d'effacer le mensonge originel «Sauvons nos pavillons» contribuant sauvagement au dérèglement climatique, à l'accroissement de l'empreinte carbone. Avec l'idéologie totalitaire qui l'anime, elle décide de ripoliner sa politique en la badigeonnant de vert.
Les seuls investissements destinés au verdissement de la ville seront uniquement consacrés la communication pour envelopper de ténèbres la poursuite et l'accélération de la coulée de béton obscurcissant de plus en plus les trottoirs et les avenues du Blanc-Mesnil qui bientôt verront de moins en moins le jour et profiteront de plus en plus rarement des rayons du soleil. C'est une injure à l'intelligence des Blanc-Mesnilois et un déni anti républicain.
L'opération, je peins le béton en vert débute par la distribution d'un calendrier en décembre 2022 qui se distingue, par son haut niveau le cynisme, en affirmant que dorénavant « qu'il y a trop de construction et la mise en place de contraintes pour freiner la promotion immobilière», elle se poursuit avec le n° 173 du bulletin municipal par une logorrhée de propositions plus trompeuses les unes que les autres.
Le caractère démagogique, mensonger, méprisant et cynique est aussitôt mis en exergue par les propos tenus par le sénateur Thierry Meignen, lors du meeting du 5 janvier 2023. En effet, les contractions apparaissent immédiatement. Il valorise par moins de 3 ZAC (Zone d'Aménagement concertée) qui peut croire un seul instant que ces 3 ZAC ne sont pas déjà aux mains de la spéculation immobilière et englouties sous des milliers de tonnes de béton.
Il y a urgence, ouvrons le débat sur l'urbanisme. Les Blancs-Mesnilois doivent avoir une vision précise sur:
- l'intervention de la spéculation immobilière
- le nombre pavillons qui ont été et, qui vont être, encore détruits
- le nombre de logements programmés
- leur localisation.
- les prévisions d'augmentation de la démographie
- les masses financières engagées et le niveau de profit dégagé
Folio, bon connaisseur de la ville constate tous les jours la catastrophe, urbaine, écologique et sociale qui se dessine et développe. Le discours vert, du sénateur Thierry Meignen se garde bien d'apporter les précisions nécessaires qui permettraient aux Blanc-Mesnilois de pouvoir donner leur avis sur le cataclysme en marche, qui ne sera pas que de béton, mais aussi démographique.
Dans ces conditions, il est tout fait scandaleux et inacceptable, que le journal municipal n°173 titre à la page 7 «Des projets verts pour 2023» , alors que l'intervention porte essentiellement sur :
-l'accélération de l'artificialisation des sols
-la densification de la population
-le démarrage de 3 nouvelles ZAC.
Les contraintes, pour faire, paraît-il, cesser la promotion immobilière, sont d'autant plus illusoires et démagogiques que le sénateur Thierry Meignen n'a aucune délégation municipale lui permettant légalement de les mettre en œuvre.
Ce type de pratique politique illégale ne peut conduire qu'a la désagrèagation écologique, sociale, économique, commerciale, éducative, culturelle de notre commune. Le chaos sera tel qu'il faudra au minimum une décennie pour rebâtir par la démocratie les équilibres nécessaires au bien vivre ensemble.
Heureusement les Blanc-Mesnilois sont de moins en moins dupes de la démagogie officielle :
-ils circulent de plus difficilement sur les voies et les trottoirs,
-ils voient bien que la spéculation immobilière règne en maître sur l'urbanisme local saccage les trottoirs la voirie et le parc urbain Jacques Duclos.
Ce n'est pas le ripolinage en vert, qui n'est qu'un mouvement de panique de la droite extrême de plus en plus confrontée à son mensonge SAUVONS NOUS PAVILLONS, qui va convaincre les blanc-mesnilois de ce virage verdoyant à 360°.
Face aux mensonges, à la démagogie, à l'emprise totale de la spéculation immobilière et financière sur le devenir du Blanc-Mesnil,
LE VENT SE LEVE !